En déplacement à Brazzaville, l’ARPTC a pris part à la réunion sur l’intégration de l’ARTAC comme institution spécialisée de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) dans le secteur des télécommunications.
Assumant la Vice-Présidence de l’Assemblée des Régulateurs des Télécommunications de l’Afrique Centrale (ARTAC) et représentée par la Vice-Présidente du Collège, Mme Lydie Omanga a fait le déplacement à l’ARPCE, Présidente de l’ARTAC, pour prendre part à cette réunion stratégique pour l’intégration de l’ARTAC en tant qu’institution de la sous-région pouvant apporter des nouvelles ressources alternatives pour diversifier entre autre les sources de financement de la CEMAC.
Dans cette perspective, l’ARTAC permettra à la CEMAC d’avoir une vision globale du secteur de la téléphonie mobile, des NTIC (GAFA et autres), de la data, la fibre optique, la protection des données personnelles mais aussi les opportunités d’investissements dans des infrastructures modernes pour le développement intégré du secteur dans la sous-région.
Pour rappel, la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) a été créée en 1994 pour promouvoir l’intégration économique de six pays partageant une monnaie commune, le franc CFA : le Cameroun, la république centrafricaine, la république du Congo, le Gabon, la Guinée Équatoriale et le Tchad. Son siège est à Bangui, en République Centrafricaine.
En déplacement à Brazzaville, l’ARPTC a pris part à la réunion sur l’intégration de l’ARTAC comme institution spécialisée de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) dans le secteur des télécommunications.
Assumant la Vice-Présidence de l’Assemblée des Régulateurs des Télécommunications de l’Afrique Centrale (ARTAC) et représentée par la Vice-Présidente du Collège, Mme Lydie Omanga a fait le déplacement à l’ARPCE, Présidente de l’ARTAC, pour prendre part à cette réunion stratégique pour l’intégration de l’ARTAC en tant qu’institution de la sous-région pouvant apporter des nouvelles ressources alternatives pour diversifier entre autre les sources de financement de la CEMAC.
Dans cette perspective, l’ARTAC permettra à la CEMAC d’avoir une vision globale du secteur de la téléphonie mobile, des NTIC (GAFA et autres), de la data, la fibre optique, la protection des données personnelles mais aussi les opportunités d’investissements dans des infrastructures modernes pour le développement intégré du secteur dans la sous-région.
Pour rappel, la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) a été créée en 1994 pour promouvoir l’intégration économique de six pays partageant une monnaie commune, le franc CFA : le Cameroun, la république centrafricaine, la république du Congo, le Gabon, la Guinée Équatoriale et le Tchad. Son siège est à Bangui, en République Centrafricaine.
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